Gijon, escale forcée
Arriver à Gijon le 1er novembre, quelle galère. Une entrée de port comme
un trou de souris, une escale dans la ville, superbe, au demeurant.
C'est une escale bien connue des ministes, et pourtant ce sont encore
des jours à terre, à tuer le temps, à faire rougir sa carte bleue, à
aider, comme chacun le peut son voisin de ponton. Finalement cette
Transat est une épreuve double, un coup en mer, un coup à terre, un coup
en... De là sortiront des amitiés et une fraternité inégalée. Bienvenue
au pays de "Oui-oui", il existe encore.
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